Louise Porte obtient son DNSEP en 2016 à l’École Supérieure d’Art de Clermont Métropole. Sa pratique se situe entre les arts visuels et vivants. Ses recherches d’installations, axées autour de narrations quotidiennement fictives, nourrissent ses travaux chorégraphiques, et inversement.
Capturer les images comme des instants scéniques, des installations urbaines, des actes en attente. Inspirée des arts vivants, ma pratique est référencée à une plasticité de la scène, jouée par le corps du public. Je m’intéresse à la notion d’entre acte, qui évoque à la fois l’entracte, ce moment entre deux, une préoccupation autour de l’attente du «show», une latence activée, un temps suspendu. Une scène hors scène.